J’ai toujours été curieux de découvrir de nouveaux plaisirs et de tester des expériences nouvelles. Jusque-là, l’anal avait été plutôt hasardeux puisque à part quelque doigts et un rosebud, je n’avais pas testé grand-chose et surtout je n’avais jamais ressenti de vrai plaisir mais plutôt un peu de gène. Mais comme tous mes amis me disaient que c’était trop génial de jouer avec son popotin, je me suis dit que j’avais peut-être raté quelque chose.
Effectivement, je n’avais jamais réalisé de lavement avant de jouer avec mon arrière train et donc forcément on m’avait fortement conseillé de le faire pour éviter les accidents problématiques mais qu’une fois propre, c’était largement plus pratique pour tester des choses et se sentir moins gêné par la crainte d’un accident.
Je me suis donc un peu renseigné sur le sujet, quelques infos glanées via des amis, un tuto sur le net et quelques témoignages de gens habitués et je me sentais paré pour cette grande aventure. Cela tombait bien j’avais laissé femme et enfant chez mes parents pour le week-end et j’avais donc du temps devant moi pour explorer en solo dans cette quête initiatique du cul.
C’est donc avec excitation et appréhension que je me retrouve sur les toilettes à faire la grosse commission avant de rentrer à poil dans ma baignoire avec une poire à lavement dans une main. J’hésite un peu puis je la remplie d’eau à température corporelle avant de l’introduire gentiment. J’appuie sur la poire et sens le liquide me pénétrer. Ce n’est pas désagréable. Ce n’est pas non plus le pied d’enfer mais au moins ça ne me dégoûte pas.
J’attends un peu avant d’expulser l’eau et bien entendu une grosse partie de matières fécales vient avec. Bien, c’est le but recherché tout de même. Sur le moment j’avoue que l’odeur et la vision des traces de caca dans ma baignoire me fait un peu avoir des haut-le-cœur. J’évacue les matières à grand coup de jet d’eau en mode karcher pour qu’ils puissent glisser dans la bonde. (Note pour plus tard : prévoir plutôt de faire la première partie sur les toilettes pour ne pas boucher la baignoire)
Je recommence l’opération 5 ou 6 fois en essayant de mettre une bonne quantité d’eau pour être sûr que cela nettoie bien puis je ré-expulse le tout. C’est marrant en fait. L’eau fini par ressortir aussi propre que quand elle est entrée. C’est le signe que tout est propre, super ! Je m’assure d’avoir bien tout expulsé pour être certain qu’il ne reste plus rien.
C’est le moment d’en profiter ! J’explore cela avec mes doigts : l’anus est détendu grâce au lavement et au lubrifiant au silicone, c’est plus accessible et donc plus agréable même si je ne sens pas grand-chose de plus que d’habitude. Je continue avec l’introduction d’un petit rosebud puis un fois allongé sur le lit, je teste la masturbation manuelle puis avec un vibro sur mon sexe puis directement sur le rosebud. C’est intéressant mais ce n’est pas encore vraiment le gros kiffe comme on me l’avait vendu.
Lorsque tout à coup, mes intestins se réveillent et commencent à se contracter : j’ai très mal au ventre. Le genre de chose qui vous tord en deux et qui vous scotch sur place. J’arrête le vibro et je commence à me demander ce qui m’arrive. Je décide de me lever pour me diriger vers la salle de bain mais je réalise que j’ai encore le rosebud en moi et qu’il me gène plus qu’autre chose aussi je décide de le retirer.
Effectivement, une fois libéré, mon sphincter reste grand ouvert, mes crampes reviennent et en l’espace d’une fraction de seconde, mes fesses se sont transformées en geyser d’eau expulsée à une vitesse folle avec une odeur qui se rapproche d’un cadavre en décomposition. En clair j’étais en train de me vider du reste d’eau qui avait dépassé le sigmoïde car j’avais mis trop d’eau dans mes fesses et il en restait de coincé que je n’avais pu expulsé lors de ma préparation.
En un mot : la cacatastrophe. J’étais en train de chier sur le parquet de la chambre et cela ne semblait pas vouloir s’arrêter. J’ai donc couru comme j’ai pu jusqu’à ma baignoire, sauté dedans et fini d’évacuer le reste d’eau accompagné de matières fécales dans les méandres des tuyaux d’évacuation.
Un fois le choc passé et les chutes du Niagara en provenance de mon cul terminées, j’ai dû nettoyer consciencieusement mon parquet de chambre mais également les innombrables petites goûtes marrons qui étaient disséminées sur le chemin entre la chambre et la salle de bain.
Forcément un simple rinçage n’a pas suffi et j’ai dû par la suite laver à grandes eaux en prenant soin de soulever les meubles pour nettoyer en dessous avant de désinfecter l’intégralité du sol et des meubles à coup de produit décapant pour tuer les microbes mais aussi essayer d’avoir une odeur fraîche à peu près respirable dans l’appartement…
Bref, cette expérience m’a quelque peu traumatisé pendant un bon moment mais après en avoir discuté avec mes amis, ils m’ont expliqué mes erreurs et je me suis documenté encore un peu plus sur le sujet. Je recommande chaudement le site de comment nettoyer son cul avant le sexe anal qui m’a permis de mieux comprendre comment bien faire les choses par la suite afin d’éviter ce genre de désagrément.