Une chaude nuit au milieu des dormeurs

Ce texte est une fiction. Elle regroupe néanmoins certaines choses qui se sont réellement passées, enrichies de mes fantasmes. Bonne lecture à tous.

Nous étions chez un ami après une soirée bien arrosée avec une dizaines d’autres convives. J’étais accompagné de mon amie. Il devait être 2h ou 3h du matin et beaucoup de gens étaient déjà très fatigués aussi une partie des gens décidèrent d’aller se coucher. On procéda à la répartition des chambres. Comme nous étions le seul couple à rester dormir, notre hôte nous proposa la chambre avec le lit deux places mais comme nous étions assez nombreux, il y aurait 3 personnes qui dormiraient sur des matelas autour du lit. Ces trois personnes partirent se coucher en premier.

De notre côté nous restions un peu à discuter autour d’un dernier verre de digestif qui était très bon mais très fort également et cela nous acheva littéralement. Aussi vers 4h du matin nous décidâmes d’aller nous coucher. Après un rapide tour à la salle de bain, je suis parti en premier pour me glisser sous les draps en attendant que mon amie finisse de se démaquiller et de se préparer pour aller au lit.

J’ouvris silencieusement la porte de notre chambre. Les trois personnes autour du lit dormaient profondément, deux d’entre eux ronflaient. J’enfilais rapidement mon boxer pour la nuit et me glissa sous les draps.

Quelques minutes plus tard, mon amie rentrait à son tour dans la chambre, je vis qu’elle avait enfilé un vieux T-shirt long pour la nuit. Elle se glissa sous les draps et se tourna pour me présenter son dos. Je n’osais pas trop bouger car le tissu faisait un peu de bruit et j’avais peur de réveiller ceux qui dormaient à nos pieds. Nous avons essayé de discuter ensemble un peu mais il était difficile de se comprendre en chuchotant et surtout cela risquait de réveiller les autres personnes.

Aussi, je décidais de fermer les yeux et je posais mes mains sur ses flancs pour lui faire un câlin. Elle frissonna et fit un petit bruit. J’ai eu peur de l’avoir chatouillée aussi je retirais ma main presque immédiatement. Cependant elle me la rattrapa juste avant que je ne puisse la ranger et la ramena sur ses flancs, puis la dirigea sous son T-shirt et la remonta sur ses seins.

C’était clairement une invitation pour que je joue avec aussi je m’exécutais et lui caressa les seins et pinça délicatement les tétons. Sa respiration s’accéléra légèrement et au moment où j’ai pincé ses tétons, elle enfouit sa tête dans l’oreiller pour étouffer un gémissement.

La situation était très excitante car je savais qu’elle était du genre à aimer faire l’amour dans les lieux insolites ou dans des situations improbables. Ici c’était les deux car elle ne pouvait exprimer son plaisir sous peine de réveiller nos trois amis qui dormaient toujours.

Elle ne voulant pas être en reste, aussi elle se dégagea légèrement et libéra une de ses mains qu’elle glissa directement dans mon boxer et commença à caresser ma verge déjà tendue par l’excitation. C’était à mon tour de respirer lourdement et de devoir contenir mon plaisir.

Je décidais d’abandonner ses seins pour descendre vers son bas ventre. Mon amie m’accompagna dans cette caresse en ouvrant légèrement les cuisses, me laissant accéder à sa petite fente. Je me rendis immédiatement compte que celle-ci est déjà bien humidifiée d’excitation, la situation était visiblement très chaude pour elle. Aussi je ne me fis pas prier et j’y glissa délicatement un doigt tout en caressant son clitoris avec mon pouce. Je sentis son sexe qui me serra le doigt et qui palpitait à chaque fois que je pénétrais un peu plus loin. Elle mit sa main sur sa bouche pour ne pas respirer trop fort et de l’autre main continua de me masturber aussi délicatement que possible.

Soudain, un des dormeurs se mit à grogner et à gigoter, cela nous figea littéralement tous les deux, nous nous sommes dit immédiatement que c’était cuit car nous faisions trop de bruit. Je retirais ma main de sa fente et me tourna légèrement, elle laissa sa main sur ma queue mais ne bougea plus du tout non plus.

Après quelques minutes, le concert de ronflement reprit de plus belle. Ouf, visiblement fausse alerte. Cependant cela m’avait complètement fait paniquer et j’avoue être un peu sorti de la situation. De son côté, mon amie semblait avoir aimée ce rush d’adrénaline aussi elle entreprit de reprendre son va-et-vient manuel sur ma queue. Je me laissais faire et apprécia la caresse. Puis elle commença à se rapprocher et à coller ses fesses contre moi.

Contre toute attente, elle commença à diriger mon sexe vers sa fente et commença à le prendre entre ses cuisses. Je sentis sa peau brûlante contre ma queue et sa mouille qui s’étalait petit à petit contre mon gland. Elle fit de petit vas-et-viens avec son bassin afin que mon gland caresse sa fente le plus doucement possible. La caresse était divine et je profitais de ce moment suspendu dans le temps.

Soudain, elle se mit à écarter quelque peu les cuisses et à faire pression sur ma queue avec sa main pour m’inviter à la pénétrer. Je me rapprochai d’elle et lui murmura à l’oreille « je n’ai pas de capote », elle tourna la tête et me répondit « j’en peux plus, baise-moi ». Puis elle m’embrassa à pleine bouche pendant qu’elle reculait son bassin pour m’engloutir.

Nous avons dû nous contrôler car le plaisir intense nous faisait lâcher quelques soupirs. Je décidais d’arrêter un peu le mouvement pour pouvoir reprendre mon souffle mais elle ne voulut rien savoir et commença à reculer son bassin pour venir à ma rencontre. Aussi à mon tour je poussais pour aller à sa rencontre et la pénétrer encore plus profondément. Bien entendu il ne fallait pas aller trop vite pour ne pas faire trop de bruit et que le froissement des draps ne soit pas trop fort !

Je fus étonné de la facilité déconcertant avec laquelle je m’enfonçais en elle. La lubrification était maximale et la sensation était difficilement supportable pour moi tellement cela était plaisant. Nous sommes restés dans cette position pendant quelques secondes, je pouvais sentir ses battements de cœurs directement par les parois de son sexe, il palpitait rapidement et accompagnait son souffle rapide.

Finalement c’est elle qui rompit la situation en contractant son vagin et en se repoussant le plus lentement possible de moi. Elle me fit presque sortir d’elle ne laissant que le bout du gland à l’intérieur avant de faire machine arrière et de s’empaler sur moi jusqu’à ce que ses fesses touchent mon pubis. Chaque vas-et-viens prenait une éternité. Je n’avais jamais fait de sexe aussi lentement et dans une situation aussi atypique. Et cela était encore plus excitant.

A chaque pénétration je poussais de toute mes forces en elle pour accompagner le mouvement et à chaque fois, elle se contractait en soupirant. De mon côté, je sentais ma limite arriver à grand pas surtout qu’elle se contractait de plus en plus fort.

Aussi je me suis penché sur elle en lui murmurant le plus doucement possible que j’allais jouir et qu’il fallait que je me retire. Cependant elle me prit la main et la posa sur ses tétons en disant « moi aussi je vais jouir. Je veux te sentir jouir en moi ».

J’étais complètement sonné par cette réponse aussi inattendue qu’excitante. Elle ondulait de plus en plus son bassin sur ma queue. Nous faisions de plus en plus de bruit qu’avant et j’avais peur de réveiller quelqu’un. Cependant l’excitation était trop forte et je ne pensais plus à rien. J’accompagnais comme je pu ses mouvements qui semblait être plus désordonnées. Je lui titillais les tétons un peu plus et cela fut le petit rien qui la fit partir immédiatement. Elle poussa au maximum ses fesses contre moi, se contracta et son sexe se mit à convulser de manière erratique. Elle était en train d’avoir un orgasme, elle ne put contrôler ses gémissement et dû enfouir sa tête dans l’oreiller pour étouffer ses cris.

Ce fut la caresse de trop pour moi et je ne pus contenir mon extase, mon sexe explosa en elle. Je fis mon maximum pour ne faire aucun bruit durant ce moment.

Puis je réalisais la situation : trois de nos amis étaient en train de dormir à moins d’un mettre de nous, et nous étions là, tous les deux terrassés par un orgasme puissant.

Le temps de reprendre nos esprits, je me suis penché sur elle en lui disant que j’avais réellement aimé cette petite folie, elle ne répondit rien mais m’embrassa fougueusement avant que nous tombions tous les deux l’un à côté de l’autre épuisé mais comblé.

Rapidement j’ai dû retirer mon boxer et le lui donner afin qu’elle puisse le mettre entre ses cuisses et ne pas tâcher les draps avec ma semence. Après quelques petites caresses, nous nous endormîmes rapidement en faisant de très doux rêves.

Le lendemain matin, nos trois dormeurs ne semblaient s’être aperçu de rien du tout et se comportèrent comme si de rien n’était. Ce n’est que quelques années plus tard que nous leurs avons avoués… Ils ne s’étaient réellement rendu compte de rien.