Ce texte est une fiction. Elle est issue d’un prompt d’histoire avec quelques contraintes imposées soumis par une amie. Bien qu’elle soit une fiction elle reste néanmoins un fantasme que j’aimerai être capable de réaliser un jour. Étant très inspiré, j’ai dû le découper en plusieurs chapitres qui forment une longue histoire et je vous invite à commencer par le premier chapitre. Bonne lecture à tous.
Encore en pleine étreinte à goûter à ses lèvres avec passion, je décide qu’il est largement le temps de reprendre la situation en main. Aussi je romps le baiser à contre cœur et je lui explique que c’était très intense et que j’ai beaucoup aimé sa réaction. J’ai clairement vu ses joues rougir surtout quand je lui ai dit qu’elle était une « good girl ».
Puis je reprends mon initiative initiale : je fais sauter l’attache de son soutien-gorge et libère enfin sa poitrine à ma vue. Je le récupère et je peux en admirer la fabrique et la finesse de la dentelle. Je suis également surpris par la chaleur qu’il dégage. Il était tout contre elle et c’est tout à fait normal mais je suis quand étonné.
Inconsciemment, elle a mis ses bras devant elle pour cacher ses seins qui sont maintenant à l’air libre. Elle semble vouloir être pudique. Cette innocence me fait de l’effet et j’aime le décalage entre sa pudeur et le fait qu’elle laisse un inconnu faire ce qu’il d’elle.
J’attrape ses poignets et lui demande si je peux écarter ses bras et pouvoir la voir torse nu. Elle ne dit rien mais acquiesce à nouveau un peu timidement.
J’entreprends d’écarter lentement ses bras en faisant exprès de les frotter contre ses seins puis de les déposer de chaque côté de sa taille.
Ses seins sont effectivement plutôt petits mais ses aréoles rose se distinguent assez faiblement du reste de sa peau. C’est intrigant et je me surprends à être obnubilé par cette vision. Ce n’est pas la première fois que j’en vois avec ces caractéristiques mais cela est toujours intrigant.
Je la complimente sur ses seins car je les trouve magnifique et je joins le geste à la parole en posant mes deux mains sur ses globes et en les caressant légèrement. Elle frissonne et fait son maximum pour ne pas bouger et me laisser faire sans rien n’y paraître. Cela m’amuse beaucoup, aussi je décide de remonter le long de ses seins et de poser ma main sur ses tétons qui sont maintenant un peu plus tendus par le froid et par l’excitation. Elle entre ouvre la bouche légèrement et tente de réprimer un soupir de plaisir.
Puis je deviens sadique et décide de pincer ses tétons d’abord légèrement puis un peu plus fort. Elle penche sa tête en arrière et se tortille légèrement sur ses jambes. Elle se bat entre la douleur et le plaisir que cela lui procure, son cerveau cherchant de quel côté pencher.
Je prends du plaisir à desserrer puis resserrer mes doigts pour la sentir réagir. Elle semble vouloir que j’arrête et me dit stoppe du bout des lèvres mais j’aime être celui qui gère, aussi plus elle me dit stop, plus je serre. La douleur et le plaisir alternent à présent. Je lui explique que si elle veut que j’arrête, il ne faut pas dire stop mais me supplier d’arrêter mais que j’aime la voir résister et dépasser ses limites.
Elle tente de tout son corps et de tout son esprit pour ne pas me supplier d’arrêter. Et lorsque je sens qu’elle est sur le point de craquer, je relâche mon emprise pendant une fraction de seconde avant de serrer à nouveau de plus belle. Je joue pendant un petit moment avant qu’elle ne craque et me supplie réellement d’arrêter. Je sens qu’effectivement elle est bien au-delà de sa limite mais que d’aller plus loin ne serait pas raisonnable.
Je la complimente une nouvelle fois car je suis très fier d’elle, elle a tenu bon et repoussé sa limite, elle mérite que je m’occupe bien d’elle à présent. Aussi je relâche ses tétons, lui attrape la tête avec l’une des mains et lui dépose un baiser langoureux tout en la plaquant à nouveau contre moi.
Je lui dis à nouveau que je suis fier d’elle et de ses réactions et que cela m’excite beaucoup de la voire comme ça. Je lui demande ce qu’elle ressent et elle m’explique qu’elle est un peu déboussolée parce qu’elle ressent mais qu’elle est elle-même étonnée de jusqu’où elle a pu aller.
Je culpabilise un peu du mauvais traitement que j’ai pu faire à ses seins et je décide d’être le plus doux possible et de lui caresser à nouveaux ses seins et ses mamelons pour qu’elle ressente un peu de douceur et de plaisir là où il y a eu beaucoup de douleur. Elle me dit qu’elle apprécie et que le contraste entre la douleur et la douceur la surprend. On parle de son corps, de comment elle a réagi et de si elle veut aller plus loin et continuer à explorer. Elle me dit qu’elle souhaite continuer.
Alors je la guide un peu et la fait s’assoir sur le canapée du salon. Puis je descends le long de ses jambes et entreprend de retirer ses bottines l’une après l’autre délicatement et les dépose sur le côté pour ne pas qu’elles nous gênent.
Puis partant du bout de ses oreilles, je dépose des baiser et remonte le long de ses jambes que j’écarte légèrement. Je passe ses mollets, puis ses genoux, puis entre ses cuisses. A chaque centimètre que je remonte, je peux ressentir la chaleur qu’elle dégage augmenter petit à petit. J’aime ce jeu et je me délecte de chaque centimètre que je gagne jusqu’à ce que je j’arrive à la lisière de ses chaussettes hautes. J’attrape celle de droite avec mes dents et je reprends mon parcours dans l’autre sens jusqu’à ce que sa jambe soit libérée de ce tissu avant de reprendre exactement le même cheminement pour sa jambe gauche.
Une fois ses jambes nues, je me décide à déposer de doux baiser sur chacun de ses orteils. Elle semble légèrement chatouilleuse mais semble se contrôler. Moi qui ne suis absolument pas fétichiste des pieds, je prends un malin plaisir à jouer avec les siens, les caresser, les embrasser, remonter le long du mollet et redescendre jusqu’à ses orteils.
Je lui demande ce qu’elle en pense et elle me dit qu’elle aime plutôt bien cette caresse qui est aussi complètement nouvelle pour elle.
Et j’entreprend de devenir un peu plus joueur et comment à lui chatouiller sous le pied. Elle commence à essayer de réprimer un rire, pouffe et a du mal à se contrôler. Aussi je lui demande de rester le plus stoïque possible tout en accentuant mes chatouilles… Ce qu’elle fait avant d’exploser de rire et de se tordre dans tous les sens.
J’aime cette réaction et je continue mes caresses. Cependant elle a de plus en plus de mal à se contrôler et commence à se tordre dans tous les sens et cherche à se dégager de mon emprise par de grand mouvement.
Malheureusement pour moi, un mouvement malencontreux de sa part lui fait décocher un coup de pied en plein dans mon visage qui me fait tomber à la renverse.
Elle s’arrête brusquement, terrifié de m’avoir fait mal. Elle se confond en excuses et me demande si tout va bien.
Elle est vraiment trop craquante.
J’ai mal à la joue certes mais ce n’est rien face à la situation que j’ai devant mes yeux.
Je la rassure et lui dit que tout va bien mais qu’elle mériterait une punition pour m’avoir défiguré de la sorte. Elle se sent toute penaude… Jusqu’à ce que j’explose de rire à cause de mon mensonge.
J’ai tellement plus envie de la prendre dans mes bras plutôt que de la punir à cet instant, mais je me reprends, je dois rester dans mon rôle et continuer à jouer avec elle.
Je prends le temps de la contempler maintenant qu’elle est rassurée. Elle est assise à nouveau confortablement sur mon canapé, avec uniquement sa jupe (et probablement sa culotte) comme seul tissu.
Elle est parfaite et jusque-là, elle s’est très bien comportée. Aussi je la félicite à nouveau sur son comportement et lui demande si elle veut que je m’arrête ou si elle veut que je continue.
Il n’y eu aucun de temps de réflexion et elle me dit qu’elle voulait que je continue et même que j’aille plus loin.
C’était exactement ce que je voulais entendre car j’ai plein de bonnes idées pour jouer avec elle et surtout pour la punir de ce coup de pied.
Et ce n’est que le commencement.
Vous pouvez lire la suite au chapitre suivant
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