Ce texte est une fiction. Elle est issue d’un prompt d’histoire avec quelques contraintes imposées soumis par une amie. Bien qu’elle soit une fiction elle reste néanmoins un fantasme que j’aimerai être capable de réaliser un jour. Étant très inspiré, j’ai dû le découper en plusieurs chapitres qui forment une longue histoire et je vous invite à commencer par le premier chapitre. Bonne lecture à tous.
Je suis encore en train de me masser la mâchoire un peu endolorie et je tente de remettre mes idées en place, un peu sonné. Je me souviens alors de toutes les notes que j’avais pu prendre avant notre rencontre et de tout ce que je voulais faire avec elle. Aussi, je lui dis que je vais la laisser un instant, le temps d’aller chercher ses « punitions ». Elle sourit et répond un « d’accord Monsieur » qui me fait un peu vaciller intérieurement.
Troublé je me dirige tour à tour dans la chambre pour prendre la sacoche dans laquelle j’entrepose mes jouets ainsi que dans la cuisine pour aller chercher une grosse cuillère en bois ainsi qu’un bol avec quelques glaçons, puis dans le salon pour récupérer quelques galets récupérés sur la plage du Havre. Je dépose les glaçons dans un bol sur la table et les galets sur les radiateurs afin de les préparer pour la suite.
Je retire de la sacoche une baguette avec quelques plumes douces au bout que j’avais acheté quand je faisais du cat-sitting pour jouer avec, jamais je n’aurais cru que cela me servirait à autre chose.
Je me rapproche enfin d’Alicia et l’invite à se relever pour qu’elle soit debout pied nue sur le tapis en poil de lapin si doux, elle semble apprécier le contact vu comment elle enfouie ses orteils dedans, cela me fait un peu rire. Je décide de prendre mes distances et de rompre le contact. Je lui indique qu’elle ne doit pas bouger, que sa punition c’est de ne pas réagir à ce que je vais lui faire et que si elle le fait, je devrais sévir et prendre une punition bien plus grande.
Et lentement, je me positionne derrière elle et je pose ma plume dans le creux de son dos. Immanquablement, elle se met à se tordre un peu. Je la reprends verbalement en lui indiquant qu’elle ne doit pas bouger sinon la punition serait augmentée.
Elle acquiesce et tente de se contrôler. Je repose les plumes dans son dos et je remonte lentement le long de sa colonne vertébrale pour terminer dans son cou. Elle respire profondément pour se concentrer et ne pas réagir mais la privation d’un sens augment les sensations sur tous les autres sens et elle a du mal à ne pas résister.
J’admire quand même son abnégation à ne rien laisser transparaître et je lui dis que je suis fier d’elle car elle se comporte bien.
Je repasse par le devant et je laisse lentement descendre ma plume le long de ses épaules et sur le dessus de ses seins. Je continue lentement et décide de faire le tour de ses tétons. Elle se met à se mordre la lèvre inférieur et ses jambes commencent à trahir un inconfort certain. Comme ce jeu m’amuse beaucoup, je continue à appliquer la plume dans les endroits où cela la fait plus réagir et immanquablement, ses lèvres s’entrouvrent et elle lâche un soupir tout en perdant un peu son équilibre car un de ses genoux s’est plié involontairement.
Forcément cela ne respecte pas les règles du jeu et j’interviens pour la gronder. Gentiment mais fermement quand même. Elle me répond « excusez-moi Monsieur » des plus sensuel qui me souffle littéralement. Je dois lutter pour rester dans mon rôle et ne pas l’embrasser sur le champ. Et je la reprends « Ce ne sont pas des manières pour demander pardon. Recommence ».
Elle a un sursaut et ne dit rien, cherchant très certainement une réponse à plus adéquate à me donner. Je me place derrière elle et, quasiment instinctivement car je n’avais absolument pas ça en tête à ce moment-là, ma main droite vient s’écraser sur sa fesse droite avec un claquement caractéristique d’une fessée bien sèche. Elle pousse un cri de surprise et immédiatement reprend « Je vous demande pardon, veuillez accepter mes excuses Monsieur, je ne le referai pas ».
J’aime sa réaction et le fait qu’elle se soit reprise correctement. Elle mérite une récompense pour avoir bien réagit, aussi je repose ma main droite sur sa fesse droite mais cette fois je la caresse doucement et je me colle à son oreille pour lui dire que c’est bien, c’était exactement ce que j’attendais d’elle. Elle se met à sourire un peu et je sens à ses joues rougit qu’elle a apprécier cet échange. Aussi je me dis que je vais explorer cela un peu plus loin.
Cependant, elle a quand même enfreint la règle car elle a réagi et bougé, aussi je le lui signifie et lui demande de se mettre à quatre pattes sur le tapis. Elle enfouit ses mains dans les poils épais du tapis et je la surprends à y passer ses doigts plusieurs fois comme pour bien apprécier la douceur de ce dernier. Cela me fait rire intérieurement.
Elle se met en position et je récupère les galets qui sont maintenant très chauds grâce à mes radiateurs. J’ai presque du mal à les tenir tellement ils sont brûlants. Je me dirige près d’Alicia et j’en dépose un dans le creux de ses reins.
Surprise elle lâche un petit cri mais ne bouge pas. Je lui dis que c’est très bien et que je suis impressionné de son self-control. Je dispose sur son dos 4 autres galets brûlants le long de sa colonne vertébrale et sur ses omoplates.
Je lui explique la règle simple, les galets ne doivent pas tomber au sol. Quoi que je lui fasse, les galets ne doivent pas toucher le tapis. Elle acquiesce silencieusement.
Elle est là, à quatre pattes avec seulement sa jupe et sa culotte, les seins pendants et les galets sur son dos. Elle est magnifique, elle est tellement belle et son abnégation a ne pas bouger est admirable quand bien même il semble que les galets lui brûlent la peau.
Et pourtant j’ai tellement envie que l’un des galets tombe !
Aussi je me place derrière elle et je répète qu’en aucun cas les galets ne doivent tomber. Puis, je lui assène une nouvelle claque sur sa fesse droite. Elle sursaute. Puis la fesse gauche, elle sursaute encore. Puis j’enchaîne les claques sans qu’elles soient trop violentes mais suffisamment pour que son corps soit un peu secoué.
Je suis impressionné, et je le lui dis, par le fait qu’elle n’a toujours pas fait tomber un seul galet. Mais pour plus d’effet, je décide de lui remonter la jupe sur ses fesses et de descendre sa culotte jusqu’à mi-cuisses. Puis je reprends ma session de fessées sans pour autant accentuer la force que j’y met. Cependant ses fesses étant maintenant complètement à nues, cela claque vraiment plus fort et à chaque impact, elle ouvre la bouche pour laisser s’échapper un petit cri et parfois un petit râle de douleur et de plaisir mélangé entre deux claquements.
Puis c’est le drame. Sous la pression d’un claquement peut-être un peu plus fort que les autres, un des galets sur son omoplate de droite fini par chuter au sol. Immédiatement elle le sent et se reprend en me disant « je suis sincèrement désolée de vous décevoir Monsieur, veuillez me pardonner de ne pas avoir pu garder la pose ».
Ses excuses sont sincères et elle a su toucher en moi une corde sensible. J’ai du mal à me contenir face à tant de douceur venant de sa voix.
Je retire un à un les galets sans un mot. Ces derniers ont laissé des marques rouges sur sa peau du plus bel effet. Je vérifie quand même que sa peau ne soit pas endommagée mais cela ne semble pas être le cas. J’en profite pour la caresser le long du dos et lui dire que ses excuses sont acceptées.
Je me dirige vers la table. Je prends le bol de glaçon avant d’en retirer un entre mes doigts. Je m’approche d’elle et lui annonce que je prenais en compte ses excuses mais que je devais devoir sévir sauf si elle réussit à ne pas réagir cette fois-ci.
Je dépose alors un glaçon dans le creux de ses reins exactement où se tenait un galet brûlant quelques secondes auparavant. Le choc thermique entre le chaud de son corps et le glaçon l’a fait légèrement se fissurer. Elle se mord les lèvres car elle ne s’attendait pas à ça. J’attrape un second glaçon que je dépose proche du premier et que je décide de faire remonter le long de sa colonne vertébrale.
Elle se tortille légèrement de par ce contact gelé et les sensations nouvelles que cela lui procure. Elle halète un peu et lutte de toute ses forces pour respecter la règle du jeu. Puis j’entreprends de faire le chemin inverse, de sa nuque jusqu’à ses fesses et je prends un malin plaisir à prendre tout mon temps pour le faire, si bien que le glaçon est déjà quasiment fondu en arrivant au bas de son dos.
Je décide d’être à nouveau plus coquin et je positionne mes doigts gelés sur les bords de sa vulve. Elle pousse un petit cri de surprise avant d’onduler légèrement le dos pour échapper à ce contact. Je décide de lui plaquer ma main gauche dans le dos pour la forcer à rester immobile pendant que mes doigts parcourent lentement les contours de son sexe.
Le glaçon qui était sur son dos n’est plus qu’une flaque qui coule maintenant sur un de ses flans. Son sexe est lui aussi légèrement humide et semble palpiter à chacun de mes mouvements. Je n’ose pas trop la toucher directement car mes doigts sont très froids mais je brûle d’envie de voir comment elle y réagirait.
Sachant qu’elle ne fait qu’onduler du bassin même en la tenant, je me vois contraint de sévir à nouveau et ma main droite vient une nouvelle fois s’écraser sur sa fesse laissant une marque rougie à l’emplacement de l’impact.
Je lui dis que je vais devoir sévir encore que cette fois, après le chaud et le froid, elle devrait tenir le coup sous les vibrations. Elle déglutit légèrement avant de répondre « Bien Monsieur » avant qu’à nouveau le bruit sec d’une fessée se fasse entendre dans l’appartement.
Je n’aurais jamais cru en arriver à ce point mais je dois dire que je m’amuse terriblement. Ce serait dommage que quelque chose vienne gâcher tout ça.
Et pourtant…
Vous pouvez lire la suite au chapitre suivant
1 thought on “Alicia les yeux bandés et le fantasme de l’inconnu – Chapitre 5 : Souffler le chaud et le froid”