Ce texte est une fiction. Elle est issue d’un prompt d’histoire avec quelques contraintes imposées soumis par une amie. Bien qu’elle soit une fiction elle reste néanmoins un fantasme que j’aimerai être capable de réaliser un jour. Étant très inspiré, j’ai dû le découper en plusieurs chapitres qui forment une longue histoire et je vous invite à commencer par le premier chapitre. Bonne lecture à tous.
Alicia semble être dans une situation d’excitation assez avancée suite à l’exhibition que je lui ai imposée, son entrejambe trahit son sentiment, aussi je décide d’être un peu plus entreprenant. Je la relève et décide de la prendre dans mes bras. Sa respiration est profonde et elle dégage une chaleur particulièrement intense. Elle me cherche de sa bouche et semble vouloir que je l’embrasse mais pour une fois je ne vais pas lui faire cette faveur.
Je lui indique que je vais l’amener dans la chambre pour la récompenser de sa bonne attitude. Elle déglutit avec appréhension et je peux sentir son excitation remonter un peu plus. Je lui prends la main et la tire avec moi dans le couloir et je l’approche du lit et la fait s’allonger au milieu de celui-ci.
Elle ne porte plus que sa jupe légèrement retroussée, se seins, bien que petits, s’affaissent de chaque côté sur sa poitrine, elle pose ses mains le long du corps et attends patiemment la suite des choses.
Je lui demande si elle a une idée de ce que je vais lui faire. Elle sourit et répond qu’elle n’en sait rien mais qu’elle a très envie de le découvrir. Son impatience me touche et j’ai vraiment envie de m’appliquer.
Aussi je commence à poser mes deux mains sur ses épaules et je descends lentement pour contourner ses seins, passer par-dessus la fabrique de sa jupe, puis caresser ses poils pubiens pour glisser ensuite le long de ses cuisses jusqu’à ses pieds. Lentement. Tendrement. Elle qui est normalement chatouilleuse, ne se retrouve pas à glousser aussi je lui demande pourquoi. Elle me répond que son état d’excitation et la douceur de ma caresse rendent les choses très agréables et que ce ne sont plus des chatouilles mais de vraies caresses.
Je décide de remonter lentement entre ses cuisses en lui écartant légèrement ses jambes afin d’avoir un accès à son sexe. Il est humide, chaud et déjà légèrement entrouvert. Je décide de délicatement caresser ses lèvres et tourner lentement autour de son capuchon recouvrant son clitoris. Elle entrouvre la bouche et laisse échapper un petit soupir de satisfaction.
Je sais que je suis sur la bonne voie aussi je remonte une de mes mains vers sa bouche, je caresse ses lèvres avec mon majeur. Elle entrouvre ses lèvres et commence à me lécher le bout du doigt. Cette caresse est bien plus érotique que je ne l’aurais imaginé et je me surprends à la contempler jouer avec mon doigt, oubliant que ma deuxième main est toujours en train de lui caresser son sexe avec délicatesse. Sa respiration s’entrecoupe de soupir et de bruit de succion. Cette vision est très troublante pour moi et je ne peux réprimer une érection naissante.
Je me ressaisis car ce n’est pas le moment de penser à moi, Il faut que je reste concentré et penser à elle. Je retire doucement ma main d’entre ses lèvres. Elle cherche à le garder dans sa bouche et tente de le mordre pour ne pas le laisser partir. Je suis plus rapide qu’elle mais elle cherche avec sa bouche ce doigt ingénu qu’elle aimait tant sucer suivi d’un gémissement d’agacement et de déception de sa part.
Je trouve ça adorable.
Je décide alors de changer de main, celle qui était à ses lèvres se retrouve maintenant à l’entrée de son sexe. Les deux étant suffisamment humidifiés, je n’ai aucune difficulté à la pénétrer doucement. Je suis surpris par la chaleur intense qui se dégage de son sexe tout autant que je suis surpris par ses muscles qui se tendent partout sur son corps et le soupir de satisfaction qui l’accompagne. Je continu à m’insérer en elle lentement, écartant ses chairs intérieures et caressant son intimité.
Son soupir s’étouffe dans un « oui » qui semble la libérer. Je lui demande si elle aime la caresse, elle n’ose pas répondre mais ondule son bassin afin de mieux ressentir mon doigt en elle. Je décide alors de lui caresser l’intérieur, d’avant en arrière, lentement mais tendrement. Elle se tend, elle se cabre parfois mais accompagne toujours mes mouvements pour mieux les sentir en elle, ses soupirs sont devenus des gémissements de plaisir. Je découvre une zone en elle qui la fait réagir un peu plus que le reste aussi je m’évertue à la titiller à cet endroit.
Elle semble se perdre dans ses gémissements entrecoupés de quelques mots pour me signifier que c’est bien à cet endroit qu’il faut que j’insiste. Elle continue d’onduler le bassin en m’invitant à plus de caresse. Je sens qu’elle est proche de quelque chose de grand aussi je m’applique à lui caresser son sexe d’une main et à gentiment lui frôler le clitoris de l’autre pour augmenter son plaisir.
Lorsque tout à coup, elle se redresse comme elle peut, jette ses mains en avant et m’attrape ma chemise, puis de tout son poids, me bascule à la renverse. Elle se retrouve ainsi au-dessus de moi, ses jambes de chaque côté de des miennes, la bouche ouverte, ses deux mains me plaquant contre le lit. J’ai toujours une main en elle et l’autre se retrouve à remonter le long de son corps pour achever sa course dans ses cheveux, derrière la tête. Elle s’évertue à faire des mouvements de vas-et-viens avec son bassin pendant que mon doigt continue de fouiller son intérieur, s’arrêtant par moment sur ses zones les plus sensibles.
Elle enfouit sa tête dans l’oreiller contre la mienne, la bouche ouverte, haletante au maximum, ma main sur ses cheveux l’empoigne et la maintient tout contre moi. C’est à présent elle qui se masturbe directement avec ma main entre ses cuisses, elle fait frotter son entrejambe dans des mouvements qui sont de plus en plus désordonnés. C’est assez étrange mais c’est elle qui a pris le contrôle et qui dirige les opérations à présent, ce qui tranche complètement avec tout ce qui a pu arriver auparavant. Je suis surpris mais cette sensation n’est pas désagréable même si elle ne correspond absolument pas à l’idée que je me faisais de la situation. C’est intrigant et je la laisse faire car je veux aussi explorer cet aspect d’elle.
Je comprends très vite qu’elle est en train de se lâcher, de se libérer et de prendre son plaisir elle-même. Je la trouve belle et je l’admire de pouvoir faire cela maintenant, avec moi. Aussi je l’accompagne dans ses mouvements et je lui glisse à l’oreille que je la trouve magnifique et que j’aimerai qu’elle prenne son plaisir ultime pour moi.
Elle accélère alors ses mouvements, devenant plus désordonnés, plus accélérés. Elle gémit maintenant à pleine voix et ne peut plus se retenir. Elle me dit qu’elle est proche de l’orgasme et me demande si elle peut jouir.
Bien entendu je le lui accorde.
Ses muscles se tendent, son râle se fait plus profond, son sexe se contracte, mon doigt se retrouve compressé entre ses parois vaginales, son humidité devient très prononcée et je peux ressentir quelques goutes couler le long de ma main et venir s’écraser sur mon pantalon. Elle est en train de jouir.
Elle est tellement belle et fragile contre moi à cet instant précis.
Elle finit par être terrassée par cette petite mort avant de se laisser tomber de tout son poids sur moi, essoufflée et épuisée par sa cavalcade du plaisir.
Son sexe fini par expulser mon doigt et je retire ma main d’entre ses cuisses pour pouvoir lui caresser doucement le dos. Ma seconde main lui caressant les cheveux, lui déclenchant quelques frissons.
Je suis tellement fier d’elle. Je lui signifie que je suis très heureux d’avoir pu l’accompagner dans son plaisir.
Entre deux halètements, elle me dit merci mais je sens bien qu’elle a besoin temps pour reprendre ses esprits. Aussi je lui laisse tout le temps qu’elle estimera nécessaire pour qu’elle puisse redescendre de son petit nuage.
Vous pouvez lire la suite au chapitre suivant
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