Ce texte est une fiction. Il m’a été inspirée par un échange sur fetlife. En aucun cas je ne cautionne l’adultère : faites le en votre âme et conscience.
Cela faisait un petit moment que je la côtoyais et j’ai toujours soupçonné qu’elle avait un crush sur moi sans pour autant en avoir le cœur net. Aussi, quand je l’ai invitée à dîner chez moi en présence de ma femme, j’étais très excité mais serin qu’il ne se passerait rien.
Après les présentations d’usage avec ma femme qu’elle rencontrait pour la première fois, cette dernière remarqua qu’il nous manquait quelques ingrédients pour le repas du soir et s’excusa pour aller au supermarché les chercher.
Dès que nous fûmes seuls, elle me sauta directement dessus et nos bouches se heurtèrent dans un baiser sauvage et incontrôlable. Ses douces lèvres sur les miennes allumèrent en moi une fièvre ardente, et chaque échange de langue alimentait ce désir brutal d’explorer cette relation adultérine. Sans perdre une seconde, elle se mit à genoux devant moi. Sous son regard provocateur, elle fit glisser d’abord mon pantalon, puis mon boxer, révélant ma queue à moitié bandée et palpitante. La manière dont elle paraissait si désireuse de me faire plaisir fit monter mon excitation encore plus fort.
Le regard plein de défiance, elle leva les yeux vers moi et commença à caresser ma verge et mes bourses du bout de ses doigts délicats. D’un ton coquin et provocateur, elle me demanda : « Dis-moi, est-ce que ta femme te suce encore ? » J’admis qu’elle le faisait de temps en temps, mais qu’elle n’avalait jamais. Elle esquissa un sourire en coin. Ce détail intensifia la chaleur qui pulsait en moi, ravivant un désir que j’avais presque oublié.
Doucement, elle pressa ses lèvres contre le bout de ma queue. Dès que sa bouche chaude entra en contact avec mon anatomie, ma verge se raidit et frémit. La sensation, la texture soyeuse de ses lèvres, la chaleur et la douceur avec lesquelles elle caressait mon sexe m’envoyèrent des frissons électriques. Elle entama une fellation incroyablement torride, suçant ma queue avec avidité qui faisait s’embraser chaque nerf de mon corps. Sa langue traça chaque contour de mon gland tandis que ses lèvres et sa gorge m’enlaçaient avec ardeur. Chaque gémissement qui s’échappait de ma bouche confirmait qu’elle savait exactement comment me rendre fou.
Puis, d’une assurance sensuelle, elle me demanda : « Alors, tu aimes ça ? » et enchaîna avec « Je suce mieux que ta femme ? » J’eus du mal à répondre, tant c’était la meilleure fellation que j’avais eue depuis longtemps. Elle me regarda avec une lueur de fierté dans les yeux et, d’un ton impertinent, elle ordonna : « Maintenant, je veux que tu baises ma bouche comme si c’était ma chatte. »
J’ai totalement vrillé et en un instant, je saisis fermement sa tête et commençai à lui asséner des coups de reins puissants. Ma queue glissa rapidement dans sa bouche humide alors qu’elle se laissait faire. Chaque poussée dans sa bouche me procurait des vagues de plaisir qui me rapprochaient dangereusement de la jouissance. Je ne pus retenir ma voix et je lui dis que j’adorais sa bouche, que j’aimais la manière dont elle me suçait, que je sentais que j’allais jouir et que je voulais remplir sa petite bouche.
Puis, le moment tant attendu arriva : j’explosai littéralement dans sa bouche. Je sentis mon sperme chaud et visqueux jaillir, inondant sa gorge de jets épais et puissants. Chaque pulsation, chaque filet qui s’écrasait contre son palais me fit chavirer, mêlant une douce extase à l’irrésistible sensation d’abandon.
Ensuite, et sans rompre notre contact visuel, elle commença à déglutir et avaler chaque goutte de mon sperme que je pouvais sentir glisser le long de sa gorge. Puis, elle reprit doucement sa fellation afin de s’assurer méticuleusement qu’aucune trace de ma semence ne restait sur ma queue, effaçant ainsi tout signe de notre jeu interdit. Son regard, pétillant en disait long sur le plaisir qu’elle éprouvait à le faire.
Une fois mes sens revenus, nous ajustâmes rapidement nos vêtements. Fort heureusement car quelques secondes plus tard, ma femme fit à nouveau irruption dans la pièce, portant des sacs de courses. Je me sentais terriblement coupable pour ma femme, mais en même temps incroyablement comblé par ce qui venait de se passer : cette sensation était à la fois déroutante et enivrante et restera à jamais gravée dans ma mémoire.
Hé ben mon « cochon » !! T’as envoyé du lourd sur ce coup là !! Pfiouu !!! C’était torride ^^ !! :))
Bon alors puisqu’on est entre nous, perso, j’avoue n’avoir jamais aimé la fellation… (on ne me crie pas dessus ! merci !), et l’adultère provoquerait en moi aucune excitation supplémentaire par rapport à un bon vieux rapport sexuel avec ma femme.
Pour autant, j’ai passé un bon moment à te lire, et de toutes façons, car deux personnes qui prennent leur pied en se donnant du plaisir, c’est beau, adultère ou pas.